Publié le 27/09/2013

Quelques astuces qui ne vous viendraient même pas à l’esprit peuvent faire diminuer le coût total de votre crédit immobilier. Elles peuvent alors vous faire économiser plusieurs milliers d’euros !

Donnez une bonne impression à votre banquier

Un client qui n’hésite pas à apporter 20% du montant total de l’achat envisagé séduira forcément les banques. Cela montre non seulement une bonne solvabilité, mais également une bonne capacité d’épargne.

Servez-vous de la concurrence

Avant d’approcher votre banquier actuel, renseignez-vous d’abord auprès de divers établissements, plus de trois seraient l’idéal, sur leurs propositions correspondant à votre profil. Montrez-lui ensuite les propositions de ses concurrents pour appuyer votre demande de faveur sur la réduction des frais associés à votre emprunt.

Présentez vous-même votre dossier

En présentant vous-même votre dossier sans l’aide d’un courtier, vous économiser déjà au moins 500 euros. En outre, si vous estimez que vous êtes un cas facile et que le traitement de votre dossier ne devrait pas présenter de difficulté, vous êtes en droit de demander une réduction de frais de dossier pouvant atteindre 50%.

Optez pour le cautionnement au lieu de l’hypothèque

L’hypothèque est une option très couteuse au moment de l’inscription et au moment d’effectuer une éventuelle mainlevée hypothécaire, procédures qui peuvent vous couter jusqu’à 500 euros. Préférez plutôt le cautionnement d’un organisme spécialisé, du type crédit logement.

Choisissez une banque sensible à la délégation d’assurance

C’est une formule d’assurance taillée sur mesure selon le profil du client, à la différence de l’habituelle assurance de groupe qui ne fait pas de distinction d’état et de situation. Ainsi, par exemple, avec une délégation d’assurance, un client de 25 ans ne paiera que 0,16 % du total emprunté contre 0,40 % pour un emprunteur de 40 ans.

Préférez le taux fixe

Tous les professionnels vous conseilleront le taux d’intérêt fixe au taux variable qui varie en fonction de l’état du marché monétaire, un marché dont le comportement devient de plus en plus imprévisible, voire inquiétant.

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