Dans les colonnes du quotidien économique La Tribune, Patrick Petitjean, directeur général d’April explique pourquoi, suivant les contrats d’assurance dépendance individuels, l’assistance et les services associés aux contrats font la différence.
Entre les deux types de contrats individuels qui existent actuellement sur le marché pour faire face à la dépendance, ce sont « les garanties d’assistance et de services proposées dans les contrats » qui peuvent faire la différence pour Patrick Petitjean, directeur général d’April.
Entre les contrats qui permettent, via un contrat d’assurance-vie, de se constituer une épargne et ceux qu’il nomme « contrats « à fonds perdus » », où l’assuré reçoit ce qu’il a cotisé sous forme de rente mensuelle ou sous forme de capital, la différence vient également du montant de la cotisation moyenne mensuelle. Pour la première solution, la cotisation sera plus élevée, pour la seconde solution, la cotisation moyenne sera moindre, mais perdue en cas de non-dépendance. « Au final, l’arbitrage entre les deux catégories dépendra plus de la capacité financière du souscripteur », conclut Patrick Petitjean.